La musique : une drogue, si l'on peut dire

(de Eric Oullereau)

Drogue, drogué : caractéristiques :

Déconnexion par rapport aux 5 sens

mépris des 3 sens majeurs : odorat, toucher et gout

C'est le culte du son, de l'ouïe qui serait le sens le numéro 1, ce qui est une totale aberration.

En entendant de la musique, le cerveau est moins sensible aux sollicitations des autres sens, et donc moins sensible aux sens majeurs du corps humain.

Quand vous mangez un fruit, en entendant de la musque, cela fait atténuer son gout. On fait moins attention à sa qualité.

=> Donc on est moins qu'un bonobo qui lui méprise la musique mais fait attention au gout pour ne pas s'empoisonner.

 

La personne qui écoute de la musique, généralement peut boire du vin (modérément au moins) alors que le vin est un liquide toxique pour l'humain, une drogue de classe A, qui diminue les capacités du cerveau temporairement.

risque d'accident

en écoutant de la musique, la personne risque plus un accident, si elle est en déplacement,à pied ou en voiture par exemple.

 

Déconnexion par rapport aux  sensations internes du corps

réflexes atteints, manque de sensation à la douleur

En écoutant de la musique, la personne a ses autres sens atténués, ceux internes par exemple, l'esprit étant accaparé par ce bruit qu'il entend.

D'où moins d'attention aux sensations de douleur ou d'inconfort par exemple.

problèmes physiques, mépris du corps

mépris du corps

la personne vouant un culte à la musique, pensant avoir atteint le nirvana avec, ne s'occupe pas de son corps ou très peu.

Ainsi la personne peut indifférente à une opération des amygdales par exemple.

ou croire au masochisme des vaccins, les vaccins étant une pure aberration.

apathie physique, ou surexcitation

La personne ne pense pas à une activité physique normale, intelligente :

Par exemple les joggers écoutent de la musique avec un exercice musculaire robotique qui est néfaste aux muscles de puissance en courant 45mn en continu. C'est par l'effet de la musique qu'ils arrivent à faire cela. Car sinon, l'esprit s'ennuie, ce n'est pas stimulant intellectuellement. On n'est pas fait pour courir aussi longtemps.

La musique peut servir aussi pour stimuler pour la guerre, le combat. C'est d'ailleurs à l'origine son 1er rôle.

La personne est ainsi déconnectée de son corps, excitée pas de façon naturelle. Et prête à se surpasser, à souffrir en fait et donc à se détruire un peu physiquement.

problèmes mentaux

apathie mentale ou surexcitation

manque de curiosité pour ce qui est sain pour le corps,

surtout intéressé par le miraculeux.

La musique crée un vide mental.

La personne étant en vide mentale n'est pas posée, curieuse, calmement.

Elle est en état d'exaltation, hors de son corps, dit-elle dans un certain nombre de cas, se croit très supérieure, et elle a des visions mégalomanes, de grandes choses.

D'où quand on lui parle de s'intéresser à son propre corps, cela ne l'intéresse pas ou très peu,

et l'intérêt de son corps va à l'encontre de sa mégalomanie, son désir de se montrer devant le plus grand nombre, pas centrée sur elle-même et son conjoint d'abord.

D'où vous avez affaire à quelqu'un qui est indifférent pour l'effort soutenu pour réfléchir.

Et déjà ce qui est un plaisir certain et un rafraichissement en soi. Ce n'est pas mégalomane, non plus, pas rapide.

Donc elle l'ignore aussi.

l'opposition

La personne écoutant de la musique étant déficiente mentale, est en opposition, une caractéristique d'Alzheimer, par la suite.

Elle ne cherche pas à écouter attentivement.

elle dit qu'elle n'est pas d'accord quand on insiste sur son avis, et elle reste là, après avoir dit un argument type ou pas.

Music : a drug


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