Diplome de psychiatre "ennemy mortel de la culture => ignorance of the causes of Alzheimer

(de Eric Oullereau)


Examinons le diplôme du psychiatre avec un exemple pour illustrer qu'il est l'ennemi mortel de la culture, du bon cerveau, ici, comme c'est sa spécialité :
Il y a quelque années, j'avais vu Mme Michelle Micas, gérontologue, psychiatre, spécialiste de la maladie d'Alzheimer, vice-présidente de France Alzheimer, qui donnait une conférence sur Alzheimer, au salon Vivez Nature ( vendredi 17 octobre 2008) avec un des points proposés dans la présentation de la conférence : ses causes.
Elle disait que jeune on arrivait à faire plusieurs choses à la fois.
Elle expliquait, pour le justifier, que son petit-fils, en 5ème, arrivait à faire 3 choses à la fois :
- il écoutait de la musique
- il jouait au ballon
- et il faisait son exercice de mathématique en même temps.
Et il arrivait à faire son exercice de mathématique juste.
mais avec l'âge cela se perdait.
A la fin de la conférence, en question d'auditeur, j'ai dit que j'étais un professeur de cours particuliers, que je ne croyais pas qu'on puisse faire plusieurs choses à la fois jeune, et je voulais savoir si l'on pouvait faire un sondage pour savoir quelle proportion de gens croyaient qu'on pouvait faire plusieurs choses à la fois jeune.
Elle a donc repris ma question et l'a posée à l'auditoire pour le sondage, que les auditeurs qui y croyaient lèvent la main.
Les auditeurs se sont prêtés au questionnaire, et ceux y croyant ont levé la main.
Il n'y a eu qu' 1/3 des personnes qui ont levé la main.
Elle devait de toute évidence croire qu'il y aurait eu plus de mains qui se seraient levées, car elle a alors dit qu'elle n'aurait pas dû prendre un exemple personnel car cela ne marche pas en général ( ou jamais).
Elle s'est enfoncée en disant cela car justement avec un exemple précis , l'auditoire peut visualiser la situation et comprendre le test, voire le refaire.

Ainsi, on voit plus facilement la véracité du test ou pas.
En citant une expérience générale, sans bien préciser le test, cela "marcherait" plus car les gens ne comprendraient pas le test et seraient obligés de "faire confiance" aux chercheurs testeurs, les supposant intelligents.
Elle avait rajouté après une autre question de sondage : est-ce que les gens étaient d'accord que cette capacité de faire plusieurs choses à fois se perdait avec l'âge ?
Là elle avait eu les 2/3 des mains qui s'étaient levés.
Je n'ai pas pu poser une question en plus pour faire basculer les auditeurs dans ce sondage.

Je pense qu'en disant qu' avec l'âge on connaît mieux les choses, les opérations mentales sont plus rodées, donc il est plus facile de faire plusieurs choses à la fois ou plus honnêtement de dire qu'on peut plus facilement donner l'illusion de faire plusieurs choses à la fois, faisant chacune beaucoup plus rapidement, les auditeurs auraient été bien moins nombreux à la croire dans ce cas.

Son idée était très grave : on a vraiment affaire à un conseil "ennemi mortel de la culture"
J'avais parlé de notre échange avec 2 directeurs de maison de retraite.
Ils avaient été profondément choqués des propos de cette soi-disant spécialiste.
Ils savaient, malgré qu'ils n'avaient pas de diplôme en psychologie ou en psychiatrie que
le gros problème des personnes Alzheimer, c'est qu'elles font plusieurs choses à la fois.
Cela détruit leur concentration et à force leur cerveau.
La psychiatre n'avait pas du tout compris les causes d'Alzheimer.
Elle savait diagnostiquer Alzheimer.
Par exemple une question est de demander s'il lui arrive de ne pas savoir où ranger ses clés en arrivant à la maison.
Si elle ne sait pas où elle a posé ses clé en arrivant, cela ne veut pas dire qu'elle a Alzheimer, mais si elle ne se rappelle pas où elle devrait les remettre, c'est un problème grave typique d'Alzheimer.
Même un enfant de 8 ans pourrait poser cette question et comprendre la réponse.
Ce point n'est pas connu des médecins généralistes avec leur formation. Ceux qui le savent, c'est tout simplement qu'ils se sont auto-formés après.
Le "gros avantage" si l'on peut dire de cette ignorance de la psychiatre, c'est de promouvoir des médicaments pour Alzheimer, vu que la cause de bon sens n'aurait pas été déterminée.
Son diplôme ainsi sanctifierait la logique économique, (la vente de médicaments), comme disait Paul Valéry, membre du Collège de France, l'auteur de cette critique du diplôme.

Un point majeur de base qui entraîne Alzheimer : la paresse mentale
- avec du bon sens on a envie de dire que ce sont des gens qui n'ont pas fait assez travailler ou assez correctement leur cerveau dans leur vie, et à force, ils arrivent à Alzheimer.
- en demandant à un médecin chercheur travaillant avec le C.N.R.S. et l'I.N.S.E.R.M., j'ai demandé si les personnes Alzheimer avaient fait peu ou mal travailler leur cerveau, dans leur vie.
Il m'a dit que oui.

Je n'exclus pas le rôle détestable de la chimie polluante, mais les 2 semblent aller ensemble.
recul sur la formation de psychiatre pour comprendre ces propos aberrants anti bon cerveau :
Le psychiatre a eu une formation de médecin.
En 4ème année, il a du violer les lois du sommeil, pour assumer 2 gardes de nuit par semaine en tant qu'externe en hôpital et suivre le lendemain ses cours à la faculté de médecine.
C'est une pratique vraiment anti-cerveau.
Manquer de sommeil disait La M.A.A.F. peut être équivalent à avoir 0.5 g d'alcool dans le sang ou plus.
Ainsi, si on apprend pas aux élèves en médecine comment faire attention à son cerveau, comment pourraient-ils aider correctement les autres ?
C'est à ma connaissance la seule formation où même le major de la formation viole les lois du sommeil.
Le pseudo-avantage de cette pression psychologique est à la fois de réduire la capacité de réflexion des futurs médecins, et aussi, comme leur formation est créée par des laboratoires, donc leur intérêt est de créer des besoins en médicaments, et avec le manque de sommeil se crée le besoin de médicaments ou plutôt drogues qui "élimineraient" la fatigue.
Ainsi beaucoup d'étudiants en médecine auraient expérimenté des médicaments peu recommandables et pourraient le recommander plus facilement à leurs patients.
Un médecin disait qu'un médecin sur 2 prend de la drogue.
Cela se voit à ses pupilles dilatées.

J'avais vu aussi un livre disant qu' 1 médecin sur 2 était en état de fatigue avancée.
Qu'il prenne une drogue ou pas, c'est comme le dit la M.A.A.F., comme s'il en avait pris.
Le cerveau est en train de se détruire.
Donc comment pourrait il donner de bons conseils de cerveau aux autres ?
Donc nous voyons vraiment que le diplôme est dans ce cas ennemi mortel de la culture, ici de santé et la santé mentale, selon le diplôme dans ce domaine.

Psychiatrist's diploma, " deadly enemy of the culture " = > ignorance of the causes of Alzheimer

 

 

 

Examination of the diploma of psychiatrist with an example to illustrate that he is the deadly enemy of the culture, the good brain, here, as it is its speciality:

There is about years, I had seen Mrs Michelle Micas, gerontologist, psychiatrist, specialist of the Alzheimer's disease, vice-president of France Alzheimer, who gave a conference onto Alzheimer, in the show Vivez Nature (on Friday, October 17th, 2008) with one of the points proposed in the presentation(display) of the conference : its causes.

She said that young person we managed to make several things at the same time.

She explained, to justify him(it), that her grandson, in 5th, managed to make 3 things at the same time:

- He listened to some music

- He played with a ball

- And he made his exercise of mathematical at the same time.
And he managed to make his exercise of mathematical just. But with the age it got lost.
At the end of the conference, in question of listener, I said that I was a professor of private lesson, that I did not believe that we can do several things at the same time young person, and I wanted to know if we could make a poll to know which proportion of people believed that we could do several things at the same time young person.
Thus she resumed my question and put it to the public for the poll, that the listeners who believed in it raise the hand.
The listeners lent themselves to the questionnaire, and believing in those in it raised the hand.
There were only 1/3 of the people who raised the hand.
She apparently had to believe that there would have been more hands which would have got up, because she then said that she should not have taken a personal example because it does not  generally works (or never).
She sank by saying it because exactly with a precise example, the public can visualize the situation and understand the test, even redo it.

So, we see more easily the truthfulness of the test or not.
By quoting a general experience(experiment), without specifying well the test, it "would" "work" more because people would not understand the test and would be obliged " to trust " the researchers testers, supposing them intelligent.

She had added after another question of sounding : did people agree that this capacity to make several things for time got lost with the age?
There she had had 2/3 of the hands which had got up.
I was not able to raise a question in more to make the auditors fall over to this poll.

I think that by saying that with the age we know better things, the mental operations are more ground, thus it is easier to make several things at the same time or more honestly to say than we can more easily give the illusion to make several things at the same time, making each much more quickly, the listeners would have been less numerous well it to believe in this case.

 

His idea was very grave: we really have to deal with a council "deadly enemy of the culture" I had spoken about our exchange with 2 directors of retirement home.
They had profoundly been shocked words of this is saying specialist.
They knew, in spite of they had no diploma in psychology or in psychiatry that the big problem of the people Alzheimer, it is that they do several things at the same time.
It destroys their concentration and in strength their brain.
Psychiatrist had understood not at all the causes of Alzheimer.
She knew how to diagnose Alzheimer.
For example a question is to ask if sometimes he does not know where to tidy up his keys by arriving home.

If it does not know where it put its key by arriving, it does not mean that it has Alzheimer, but if she does not remember himself where she should put back them, it is a typical grave problem of Alzheimer.
Even a 8-year-old child could ask this question and understand the answer.
This point is not known general practitioners with their training. Those who know it, it is simply that they self-trained later.
The " big advantage " if we can say of this ignorance of psychiatrist, it is to promote medicine for Alzheimer, seen that the cause of common sense would not have been determined.
Its diploma so would sanctify the economic logic, (the sale of medicine), as said Paul Valéry, College member of France, the author of this criticism of the diploma.

 

A major basic point which entails Alzheimer: the mental laziness
- With the common sense we want to say that it is people who did not enough make work or rather correctly their brain in their life, and on strength, they arrive at Alzheimer.
- By asking to a doctor for researcher working with the C.N.R.S. and I.N.S.E.R.M ., I asked if the people Alzheimer had made few or badly work their brain, in their life.
He told me that yes.

 


I do not exclude the terrible role of the polluting chemistry, but 2 seem to go together.
Backward Drop on psychiatrist's formation to understand these absurd words anti good brain :
The psychiatrist had doctor's training.

In 4th year, he has of to rape the laws of the sleep, to assume 2 night nurses a week as extern in hospital and to follow the next day its courts to the Faculty of Medicine.
It is a practice really anti-brain.
Be lacking sleep said Mr A.A.F. can be equivalent to have 0.5 g of alcohol in the blood or more.
So, if we teach not to the pupils in medicine how to pay attention on its brain, how they could help correctly the others?
It is to my knowledge the only training where even the chief warrant officer of the training rapes the laws of the sleep.
The pseudo-advantage of this psychological pressure is at the same time to reduce the capacity of reflection of the future doctors, and also, as their training is created by laboratories, thus their interest is to create needs in medicine, and with the lack of sleep the need for medicine or rather builds up itself give drugs which "would" "eliminate" the fatigue.
So many medical students would have experimented some medicine disreputable and could recommend it more easily to their patients.
A doctor said that a doctor on 2 takes drugs.
It sees itself in the dilated pupils.

 

 

I had also seen a book saying that 1 doctor on 2 was in a state of advanced fatigue.
That it takes a drug or not, it is as the said a mister A.A.F ., as if it had taken it.
The brain is destroying itself.
Thus how could he give of good advice of brain to the others?

 

So we really see  that diploma in this case is a real deadly ennemy of culture, here of health and mental health, according to the diploma in this area.


 

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