Les bibliothécaires et médiathécaires : ennemis mortels de la culture, explication

(de Eric Oullereau)

 

1exemple pour vous donner une idée de la profonde anti éducation que peuvent manifester des médiathécaires

J'avais vu le responsable de la médiathèque pour lui demander si je pouvais tester avec un ou 2 médiathécaires le nouvel alphabet que je mettais au point. Je voulais choisir évidemment le ou la médiathécaire qui présentait assez bien c'est-à-dire qui avait un certain respect de ses 5 sens, et de son corps, la finalité normalement d'une bonne éducation. J'avais vu un médiathécaire qui avait un piercing à l'oreille et un tatouage (une écriture en arabe) sur le bras. Il était évidemment exclu de ce test, vu qu'en plus l'alphabet est lié aux 5 sens et au corps.

j'avais découvert qu'une médiathécaire, fait incroyable mais vrai, n'avait aucun piercing (dont boucle d'oreille) ni tatouage. Je lui avais parlé de cela. Elle semblait intéressée. Elle semblait française d'origine. Je lui avais précisé que je lui avais fait cette proposition car elle n'avait pas de modification corporelle.

Quelle ne fut pas ma surprise en l'entendant s'énerver à cause de mes mots.

Elle avait répondu en disant que je faisais de la discrimination, et qu'elle allait le signaler à la personne critiquée.

Choqué je lui ai dit que j'étais choqué de sa consternation, et abandonnais cette proposition. Elle évidemment ne voulait plus aussi.

Je suis parti. J'ai quand même écrit après au responsable de la médiathèque pour me plaindre de cela et signaler ma profonde consternation.

Sans réponse.

Tentative d'explication :

Les médiathécaires sont payés pour ne pas faire de distinction entre les gens qui viennent et demandent des renseignements. Le but normalement, ce devrait pour éduquer les gens, pour les améliorer. Mais cette idée semble ne pas être en vue.

Ils pensent, de façon générale au réflexe qu'ils ont vis-à-vis des gens, pour leur accueil. Et on dirait qu'ils voudraient qu'on fasse comme eux.

Mais nous ne sommes pas payés comme médiathécaire, en tant que lecteur. Nous n'avons aucune dépendance vis-à-vis du public, en dehors des règles de la bibliothèque.

Les médiathécaires sont là pour justement encourager la bonne éducation, (dans l'idée populaire), pas pour confondre l'accueil et la vie de tous les jours, et l'éducation des gens.

En regardant de plus près, quels sont les livres qui sont dans la médiathèque : la majeur partie sont pour la guerre, la brutalité, la perversion, dont l'imaginaire. Des livres pour une bonne éducation y-en-a-t-il vraiment ?

Dans les médiathèques générales, les livres spécifiques sur la bonne relation avec les gens sont plutôt tronqués.

 

la dégénérescence du métier : de bibliothécaire à médiathécaire

J'ai demandé à une médiathécaire ce qu'elle pensait de son rouge à lèvre comme j'enquêtais sur les modifications corporelles, si cela ne dérangeait pas quand elle mangeait. Cette dame d'environ 45 ans ?, avec un rouge à lèvre vraiment criard m'avais répondu furtivement qu'elle n'y avait pas pensé, tout en regardant rapidement sur son écran d'ordinateur. Elle n'avait rien à regarder d'urgent sur son ordinateur. On n'est pas à la police en train de parler à quelqu'un devant regarder des écrans de télésurveillance, mais des médiathécaires sensés renseigner les lecteurs, et savoir écouter. J'avais continué en argumentant qu'il pouvait y avoir des nano particules, même en bio il pouvait y avoir, par exemple dans des crèmes solaires Ecocert. Et que sans c'était le mieux. Elle était toujours devant son écran avec un mépris profond de l'écoute attentive.

Avant cela ne pouvait exister car il n'y avait d'ordinateur, ou de tablette, chez les bibliothécaires.

C'est assez stressant de voir quelqu'un être ailleurs quand on lui parle. Elle pouvait dire que cela ne l'intéressait pas être franche, et pas "passive agressive", avec cette attitude de mépris, ne disant rien.

Ainsi, quand les 2 candidats de la primaire de droite veulent réduire le nombre de fonctionnaires, je comprends tout à fait, Franchement il vaut mieux être devant une machine que devant un être humain pire qu'une machine, qui fait semblant d'écouter mais n'écoute pas. Au moins avec une machine ou un chien on sait qu'il n'écoute pas, et on ne perd pas son temps. Mais des humanoïdes tels que ces personnes, on croit qu'on a affaire à des humains mais non, on a affaire à des pervers.

Ils ne le réalisent pas vraiment.

"La terre est remplie de gens se croyant des grands cœurs mais qui sont des tyrans qui s'ignorent" selon un éducateur dans la presse. C'en est une illustration.

Ils tirent, font perdre du temps pour rien.

Ils tirent pour avoir du rouge à lèvres, une pollution inutile, une pure hérésie. Et après ils critiquerons les personnes politiques, qui sont ci ou ça, mais eux ne se regardent pas du tout.

 

L'enfer abrutissant maintenant, de la promotion des jeux vidéo à cause de ce système médiathèque

Il y a des ordinateurs en accès libre (en se connectant avec sa carte de bibliothécaire, par exemple) dans ces médiathèques. Malheureusement, on peut avoir comme voisin, un joueur de jeux vidéos.

Et quand ce sont des jeunes enfants et qu'ils sont au moins 2, le silence est terminé, ils n'arrêtent pas de comparer ce qu'ils font. et on peut difficilement travailler.

J'ai demandé à des médiathécaires ce qu'ils en pensaient, est-ce qu'ils subissaient ou au contraire ils étaient pour cela.

Je croyais avoir une majorité de médiathécaires qui auraient soupiré de cela.

Mais pas du tout, la majorité, n'y voyaient pas ou peu d'inconvénient.

 

L'esprit d'anti-amélioration de soi du médiathécaire, normalement le but de la lecture ou de la consultation sur internetJ'ai discuté avec une jeune médiathécaire qui avait des lunettes, au sujet de l'amélioration de la vue. Elle était contente de ce que je lui disais. Je lui avais fait expérimenter le fait que la vue pouvait bouger et donc s'améliorer. Donc on aurait pu croire qu'elle aurait une certaine gratitude pour cela, ou au moins un minimum de respect.

Mais... le lendemain, je la voyais à l'entrée, elle ne me regardait pas du tout, sans ainsi aucun bonjour, assise à son bureau.

Quand je suis parti, c'était parti, pas un seul regard !

ça fait un peu froid, on a le coeur un peu serré en voyant cela.

Le lendemain, elle m'a enfin dit bonjour. Je lui ai demandé ce qu'elle avait pensé de notre conversation. Elle m'avait alors dit que le livre conseillé était trop général, qu'elle comptait sur des conseils précis, alors elle n'avait rien fait. Elle s'était basée sur un commentaire disant cela sur le livre conseillé ("une vue parfaite sans lunettes"). Et ne l'avait pas du tout consulté en librairie.

Par la suite elle n'a rien fait. Tout comme la bonne dizaine de médiathécaire à qui j'ai suggéré l'amélioration de la vue.

Tous avec un gros poil dans la main pour cela.

Des gens à mentalité d'assisté, et tyrans (tirans) voulant la facilité.

 

70 bibliothèques ont été brulés en France en environ 10 ans.

J'étudie qu'il n'est pas normal d'être persécuté.

Au début je me demandais pourquoi tant de vandalisme dans les bibliothèques.

Et puis en y regardant de plus près, comme je ne regardais que des livres ou d.v.d. documentaires, qu'il y avait une quantité innombrable de livres déchets, bons à mettre directement à la poubelle. Sorcellerie,..

Pour qu'un médiathécaire puisse accepter de rester dans ce monde de pourriture, il faut qu'il soit contaminé, et aime soi-disant cela. Que sa conscience soit assez altérée.

Et donc il aime l'insolence, l'anti-éducation.

D'où la réaction abjecte de la médiathécaire et l'absence de réponse du responsable.

C'était un exemple, mais j'en ai beaucoup d'autres de ce genre sur ces personnes. Ce n'était ni les personnes sur qui j'étais tombé qui étaient spéciales, ni le lieu "défavorisé" "spécial", mais bien un phénomène assez généralisé.

 

Ainsi cela vous donne une idée que le diplôme de médiathécaire est l'ennemi mortel de la culture, là au sens figuré, de façon générale.

 

librarian : beware to their big worship of debilitating, generally


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