"La majeur partie du pays manque d'eau"

"la sécheresse inquiète"

"La France tire la langue"

sont écrits en gros au début de l'article.

On voit une image d'un champ de colza et une ligne d'arbres derrière à environ 200 m. Un peu comme celle-là de Wikipédia.

le sous-titre sous la photo : "le secteur agricole est préoccupé et la situation pourrait bien empirer d'ici à cet été."

"blé et maïs en péril" un sous-titre.

 

La vue de la situation :

"les pluies susceptibles de tomber s'évaporeront tant tant les sols sont secs."

La corruption de cette phrase :

L'eau qui tombe ne peut guère s'infiltrer dans le sol pour 3 raisons déjà.

en zone avec agriculture :

car le sol est tassé, imperméable plus ou ou moins, donc, par cette agriculture chimique qui tasse le sol en détruisant sa vie

et les tracteurs très lourds qui y passent dessus et la tasse encore plus.

en zone avec béton : (en ville)

aucune infiltration, d'où elle s'évapore beaucoup plus facilement.

D'où les sols ne captent que très peu l'eau de pluie, non pas à cause de la faible pluviosité, surtout, mais à cause de son gros problème d'infiltration dans le sol.

 

"Une sécheresse qui fait renaître la peur d'une grande sécheresse semblable à celle de l'été 1976, qui avait commencé l'année précédente. "

 

Leur évaluation de la cause :

"un phénomène qui pourrait se répéter à l'avenir,

puisque les sécheresses comme les inondations sont directement liées au réchauffement climatiques".

 

On ne voit absolument aucune remise en cause de l'agriculture chimique destructrice et du bétonnage qui a eu lieu ces dernières décennies.

La surface d'un département français disparait tous les 10 ans . 

7 départements en surface de bétonnage depuis la dernière guerre.

Toute une destruction des sols sur 70 ans. leur tassement.

D'où l'augmentation drastique des chances de ruissellement des eaux quand il pleut beaucoup.

Où est le lien avec le réchauffement climatique, pour les inondations ? Quel que soit les pluies, vues qu'elles sont faibles en zone dite tempérée, il ne devrait y avoir aucune inondation, à quelque exception près si les sols étaient bien gérés, car ils sont prêts à absorber beaucoup d'eau.

Il y a eu certes des grandes inondations à Paris en 1910.

Mais par rapport aux inondations de 2016, il n'y avait pas de grands réservoirs pour diminuer le volume de la Seine. D'où c'est normal que le niveau était plus haut en 1910.

la cause en dehors du fait qu'il avait un apport de pluie supérieur à la normale :  il y a plus de 2000 ans il y avait des forêts en France.

Depuis, presque tout avait été détruit. Or les arbres absorbent beaucoup plus l'eau avec leurs racines que les champs de blé ou colza ou maïs.

=> la capacité d'absorption est plus faible.

D'où la peur des inondation à Paris fin mai 2016.

 

Avec des arbres en plus, l'eau qui tombe ne s'évapore pas si facilement car elle est protégée du soleil par les feuilles des arbres.

Et en plus elle s'infiltre plus facilement.

 

Par rapport à la sécheresse : le fait d'avoir peu d'arbres crée une zone plus anticyclonique, un échauffement de la zone plus grand, d'où une moins grande attirance des nuages de l'extérieur du pays.

=> un anticyclone s'installe alors plus facilement sur le pays.

Comme disait Francis Hallé, l'humidité attire l'humidité, la sécheresse fait fuir la pluie

 

Voici un récapitulatif en tableau :

Le réchauffement climatique est un facteur très léger à côté des variations de climat international et de ces facteurs.

D'où cet article ne fait que cacher le très grave problème de fond :

Nous sommes trop nombreux en France (et ailleurs en général).

 

il faudrait donc

- bloquer au maximum l'immigration,

- décourager au maximum la natalité.

- et aussi, positivement , favoriser ceux qui veulent émigrer intelligemment avec culture de bon ou de très bon verger en zone chaude et humide.

La seule façon de résoudre le problème.

 

En faisant mes audits en zone chaude et humide j'avais vu que cette idée était totalement absente, bien que très bien vue par les spécialistes locaux.

J'étais ainsi le seul à faire cette promotion.

 

Ce n'est pas à coup de milliards dans de la technologie, de sacrifier l'agriculture pour la direction industrielle, et bétonner encore plus,

mais de revenir à nous sources, la zone chaude et humide où les 1ers hommes seraient apparus et n'auraient jamais dû laisser, tels les bonobos et les autres grands singes. 

Mais faire mieux qu'eux :

sortir du culte végétatif de l'écologie, l'éthologie, avec leur culte de l'outil un progrès; à l'état végétatif, drogué, on ne pense qu'à ça.

 

Pour au contraire, penser à l'éléphant, l'idéal pour cela, et essayer d'avoir le 0 outil,

pour la culture de bon verger équatorial, mieux encore qu'une forêt sauvage

tant pour l'environnement, que le travail, la nourriture, frugivore idéale pour l'humain, et le climat.

 

Aujourd'hui, 3/6/17, je vois que la SAFER parle de suppression d'un département tous les 5 ou 6 ans, donc c'est beaucoup plus rapide que l'information que j'avais et qu'il est vrai datait, tous les 10 ans. Donc le bétonnage irait 2 fois plus vite.

Et Emmanuelle Cosse ex-ministre du logement, et ex responsable du parti des verts, cette dernière année, se vante de ce bétonnage. et qu'en plus il aurait plus augmenté sous son ministère qu'avant.

Donc on voit bien que l'écologie c'est le suppôt de cette profonde perversion.

 

voir aussi les articles

 -  réchauffement climatique ou pas : totale arnaque, faux débat, nous détruisons la zone chaude et humide où nous devrions vivre /

    global warming or not" total fake, false debate ; we destroy the warm and wet area, where we should live

 

 -  UNICEF COP21: sa brochure distribuée aux gens et écoles : une profonde honte, une total intox, arnaque pour le climat /

    its brochure distributed to people and for schools: a deep shame, a total hoax  for climate

 

 -  critique des manifestations en Guyane (réduire les aides aux capricieux pour la ... destruction de la Guyane)

 

 -  women : not made for having children, truly / les femmes : non faites pour avoir des enfants, véritablement