Critique des "états généraux de la bioéthique" 2018 en France

(de Eric Oullereau)


 

Remarque : pour voir les commentaires que j'ai fait aux états généraux de la bioéthique, voir la page  

états généraux bioéthique , ericoullereau

 

"La bioéthique pourquoi faire ?" titre d'un livre de la commission de bioéthique qui a préparé cette consultation 

Voici l'introduction de ce livre que j'ai découpé pour mieux cerner les idées présentées, et j'ai mis en rouge les mots qui me semblent soit suspects soit totalement erronés :  

Présentation

Le comité consultatif national d’éthique

pour les sciences de la vie

et de la santé

a 30 ans. Premier Comité national d’éthique créé au monde, il a eu un rôle important dans le développement de la réflexion éthique dans notre pays et au niveau international.

 

Autorité indépendante,

 

le CCNE a pour « mission de donner des avis sur les problèmes éthiques et les problèmes de société soulevés par

 

les progrès  

 

de la connaissance dans les domaines de

 

la biologie,

 

de la médecine

 

et de la santé »

 

et d’animer la réflexion et les débats de société dans ces domaines. Les 117 avis que le CCNE a publiés au cours de ces trente années sont consultables sur le site [www.ccne.ethique.fr].

 

Prendre du recul,

 

dégager les enjeux,

 

faire ressortir clairement la complexité des problèmes,

 

explorer et présenter les différentes options qui permettront

 

aux citoyens

 

de s’approprier la réflexion

 

et de s’exprimer

 

à partir d’un véritable « choix libre et informé »,

 

telle est l’approche du CCNE.

 

Ce processus de « choix libre et informé »

 

est au cœur de la démarche éthique biomédicale.

 

Il est aussi, plus largement, essentiel à la vie démocratique.

 

Ce livre rassemble les témoignages de soixante et onze personnes qui sont ou ont été membres du CCNE.

 

Il révèle la richesse,

 

la diversité

 

et le caractère vivant d’une démarche de questionnement et de réflexion

 

qui a pour but le respect de la personne.

 

Qui est lePrésident du Comité Consultatif National d’Ethique ?

C''est le professeur Jean-François Delfraissy

 

Jean-François Delfraissy en 6 dates

19 mai 1948 Naissance. => 69 ans

1972 Interne des hôpitaux de Paris.

1988 Professeur d’immunologie clinique et de médecine interne.

2005 Directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS).

Octobre 2014 Coordonnateur d’Ebola.

 

Quand on lui demande s’il aurait rêvé d’une autre vie, il répond sans hésiter : «Tenir un bistrot à vins.» (http://www.liberation.fr/societe/2014/11/23/jean-francois-delfraissy-docteur-ebola_1149117)

 

Il est catholique.

 

une autre idée dans cette page :

http://www.valeursactuelles.com/societe/jean-francois-delfraissy-je-ne-sais-pas-ce-que-sont-le-bien-et-le-mal-93615

"Interview. Président du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), chargé de l’organisation des états généraux de la bioéthique, Jean-François Delfraissy a accepté de rencontrer la rédaction de Valeurs actuelles. Un échange cordial et instructif qui offre de mesurer toute la distance qui nous sépare du relativisme confiant de l’ancien médecin immunologiste" 

Enfin valeurs actuelles saurait bien la différence entre la bien et le mal ?

Voici ce que l'on peut voir en page d'accueil du site :

 

Science

Les évolutions rapides de la science

 

Les sciences et les technologies médicales évoluent de plus en plus vite. Nous devons nous interroger : ce qui est possible “techniquement” est-il souhaitable ?

 

N'êtes-vous effrayé par ce sigle, le caducée,

et le lien avec le titre, pour le moins erroné ?

 

il dit dans la présentation que ce sont une série de questions qui sont issues des avancées de la science

qui nous interpellent sur des sujets comme

les neurosciences, l'intelligence artificielle, les big data, les dons d'organes, les relations entre la santé et l'environnement, la fin de vie et aussi la procréation.

Il y a eu beaucoup d'avancées scientifiques, et c'est comment on arrive à la fois, à en tenir compte mais aussi à peut-être y mettre certaines limites

... pour savoir dans quelle France nous nous voulons vivre demain.

 

mots en rouge : douteux

 

Le comité citoyen

 

Un Comité citoyen des Etats généraux est constitué, qui joue un rôle inédit dans la consultation.

 

Formé d'un échantillon d'individus représentatif de la population française,

 

ce Comité est chargé de formuler un avis critique tout au long des Etats généraux sur l'avancée des consultations et la méthode employée.

Il recevra, en amont, un éclairage sur les enjeux des débats de bioéthique

 

et pourra également se saisir d'un ou plusieurs de thèmes de débat, qu'il choisira. 

 

Le Comité citoyen remettra au CCNE son avis et ses recommandations, qui figureront dans leur intégralité dans le rapport de synthèse final du CCNE, disponible en juin 2018. Ce rapport a pour objectif d'éclairer les acteurs qui porteront la révision de la loi de bioéthique. 

 

Qu'est-ce que la bioéthique ?

Assistance médicale à la procréation, fin de vie, neurosciences ou encore médecine prédictive… tous ces domaines ont en commun d’être au cœur des questions actuelles soulevées par la bioéthique. Mais qu’est-ce que la bioéthique exactement ?

Une approche multidisciplinaire

La bioéthique est une réflexion sur les progrès de la recherche dans les domaines de la biologie, de la médecine et de la santé. Ce néologisme né dans les années 1970 regroupe ainsi les questions éthiques, ou morales, posées par ces avancées technologiques ou scientifiques, et l’impact qu’elles peuvent avoir sur l’être humain. Cela va de la relation médecin-patient aux questions plus vastes posées par la santé publique et les sciences humaines, ainsi qu'aux problèmes écologiques tels que le changement climatique. Il s’agit ainsi d’un travail commun à la croisée de plusieurs disciplines : science, philosophie, droit, médecine.

 

Science : du mot scio en latin ayant 2

Une réflexion aux enjeux complexes

Si la réflexion à laquelle nous invite la bioéthique dépasse largement le seul champ de la science, c’est parce que les découvertes scientifiques qu’elle interroge peuvent, par leurs usages, remodeler en profondeur notre société voire notre définition de l’individu. La bioéthique appelle notamment à réfléchir aux « dérives » éventuelles que peuvent engendrer de tels progrès, dans la recherche, dans l’application d’un traitement ou d’une technique de soin à des fins non-médicales… et, de ce fait, elle appelle à réfléchir aux limites à poser pour éviter que l’Homme ne nuise à son semblable.


« La bioéthique, pour quoi faire ? Pour réfléchir ensemble, prendre du champ, du temps, jeter le doute dans la mare de nos certitudes, ne jamais oublier l’autre, l’humain, caché derrière le mirage technologique ou la force du désir. »

— Jacqueline Mandelbaum, La bioéthique, pour quoi faire ?, « Le CCNE : un lieu de libre parole », p. 82 


Un pont entre la recherche, la médecine et la société

L’augmentation des « possibles » que nous offre la science engage chacun à s’interroger sur ce qui lui semble souhaitable et c’est pourquoi la question du monde que nous voulons avoir pour demain est une question fondamentale pour la bioéthique. Il est donc très important d'avoir une pluralité de points de vue sur le monde pour décider, ensemble, ce qui nous semble juste.

C’est justement ce que proposent de faire les Etats généraux de la bioéthique, qui se tiennent sous la conduite du Conseil consultatif national d’éthique (CCNE), de janvier à fin avril 2018. Le CCNE a souhaité consulter aussi largement que possible la société civile. Ces Etats généraux associeront côte à côte le grand public, les experts, les représentants d’associations et de courant de pensée… et donneront lieu à un rapport de synthèse réalisé par le CCNE. Celui-ci a pour objectif d’éclairer le Parlement avant la révision de la loi de bioéthique.

 

 

liste des projets participatifs (participation au 7/4/18):

 

Vue quaternaire la plus large possible sur ces 9 questions de bioéthique

 

La vue naturelle,

pour aller vers la perfection, le rajeunissement et la vie éternelle

avec 0 outil,

des créatures super évoluées, nous dépassant, stimulantes et très plaisantes

ergonomie total au travail,

nourriture excellente

 l'optimum pour l'environnement

bénéfique aux voisins

et l'idéal pour la sexualité

       

 aucune recherche sur les cellules souches et l'embryon

+ recherche à l'opposé sur la nourriture (fruits + liquide génital du conjoint) pour aider le corps à développer des cellules souches pour réparer son corps, et sans frein environnemental (pas de pollution extérieure)

aucune recherche sur les cellules souches et l'embryon +

rien de spécial, juste ne pas se détruire un peu plus vite qu'avec le système industriel  

 

Autorisation mais avec limites,

interdiction  de l'un des 2 ou limitation

Cellules souches et recherche sur l'embryon

totale recherche sur cela

 0 recherche sur le génome, l'ADN

 

 0 recherche sur le génome, l'ADN      Examens génétiques et médecine génomique
 0 don et transplantation d'organe       "Dons et transplantations d'organes

 0 neuroscience

total dialogue pédagogique + excellente communication + langue idéale

bonnes conditions pour le développement du cerveau

 

      Neurosciences
 0 donnée de santé       Données de santé

 0 intelligence artificielle et 0 robot

et 0 outil, avec aides naturelles plus évoluées

pour l'optimum du confort pour l'humain

      Intelligence artificielle et robotisation

 santé et environnement  marchent ensemble

optimum

=> pas en France

mais en zone équatoriale chaude et humide

     

Santé et environnement

conflits => quelques choix

ni PMA ni GPA +

0 procréation

+ 0 création artificielle,

par contre, 

pro découverte et développement de son corps après la croissance osseuse, amélioration de sa propre création naturelle et de celle de son conjoint et de la bonne création proche 

     

Procréation et société

PMA et GPA, et procréation assistée à l'hôpital

 0 prise en charge à l'hopital de fin de vie

car pas de décrépitude, vu que l'on doit rajeunir

pour ceux se laissant aller, il peut y avoir la culture de certaines drogues

 0 prise en charge à l'hopital de fin de vie

car pas de décrépitude, vu que l'on doit rajeunir

pour ceux se laissant aller, il peut y avoir la culture de certaines drogue

   

Prise en charge de la fin de vie

médicalisée