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Franchement quand on voit le témoignage de la psychiatre donné dans ce site, cela montre que s'occuper de personnes en train de mourir est un esclavage.
Aucune personne ne devrait demander qu'on s'occupe d'elle ainsi.
C'est à la personne à se prendre en charge. et si elle veut se suicider, c'est à elle de voir.
Pistes de discussion
Etats généraux de la bioéthique • 8 février 2018 10:40 - modifié le 9 février 2018 16:53
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Redéfinir le rôle de la médecine : maintenir les patients en vie, les accompagner, assurer la qualité d’une vie qui prend fin
L'objectif est de s’interroger sur le rôle de la médecine dans des cas de fin de vie où la souffrance, psychique ou physique, met à mal la dignité du patient.
Actuellement, le rôle des équipes soignantes à ce stade de la vie du patient est d’abord de préserver la qualité de vie des personnes en leur apportant une prise en charge globale et
singulière afin de soulager les symptômes, et de les accompagner jusqu’au décès. Ceci peut être réinterrogé. Pour le patient, qu’il soit en état d’exprimer ses volontés ou privé de cette
capacité, il s’agit de voir respecter sa dignité, et notamment ses droits à participer aux décisions le concernant, y compris à travers des souhaits anticipés et à avoir une prise en
charge de sa souffrance.
Eric Oullereau Pour
20 avril 2018 à 18:24
Lié à la proposition : Redéfinir le rôle de la médecine : maintenir les patients en vie, les accompagner, assurer la qualité d’une vie qui prend fin
Autrefois, tous ces soins, la médecine, ça n'existait pas. On se soignait soi-même ou en famille. on se prenait en charge.
Quand je vois le témoignage de la psychiatre de cette partie, cela fait pitié, elle fait un travail inhumain, être constamment avec des personnes déficientes. Cela pose des questions comme celle
de ce travail : vouloir qu'il continue ou plus, n'est-ce pas une forme d'esclavagisme vis-à-vis du personnel soignant ?
La compassion cela s'apprend. Il y a trop de subventions pour la maison de retraite. Les enfants qui touchent 2000 euros salaire très supérieurs à la moyenne, ne payent presque rien pour la
maison de retraite en complément. Donc sans complexe ils l'envoient là. Il faudrait penser à augmenter la
participation des enfants, et cela les ferait réfléchir un peu plus. Je ne suis pas un richard qui aurait plus mais vivant avec moins que le SMIG, donc je ne vois pas en quoi cela les limiterait.
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