Critique du projet participatif "Prise en charge de la fin de vie"

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Franchement quand on voit le témoignage de la psychiatre donné dans ce site, cela montre que s'occuper de personnes en train de mourir est un esclavage.

Aucune personne ne devrait demander qu'on s'occupe d'elle ainsi.

C'est à la personne à se prendre en charge. et si elle veut se suicider, c'est à elle de voir.

 

Proposition

Pistes de discussion

Etats généraux de la bioéthique

Etats généraux de la bioéthique ‎8‎ ‎février‎ ‎2018‎ ‎10‎:‎40 - modifié le ‎9‎ ‎février‎ ‎2018‎ ‎16‎:‎53

Redéfinir le rôle de la médecine : maintenir les patients en vie, les accompagner, assurer la qualité d’une vie qui prend fin

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Redéfinir le rôle de la médecine : maintenir les patients en vie, les accompagner, assurer la qualité d’une vie qui prend fin

L'objectif est de s’interroger sur le rôle de la médecine dans des cas de fin de vie où la souffrance, psychique ou physique, met à mal la dignité du patient. 
Actuellement, le rôle des équipes soignantes à ce stade de la vie du patient est d’abord de préserver la qualité de vie des personnes en leur apportant une prise en charge globale et singulière afin de soulager les symptômes, et de les accompagner jusqu’au décès. Ceci peut être réinterrogé. Pour le patient, qu’il soit en état d’exprimer ses volontés ou privé de cette capacité, il s’agit de voir respecter sa dignité, et notamment ses droits à participer aux décisions le concernant, y compris à travers des souhaits anticipés et à avoir une prise en charge de sa souffrance. 

 

 

Autrefois, tous ces soins, la médecine, ça n'existait pas. On se soignait soi-même ou en famille. on se prenait en charge.
Quand je vois le témoignage de la psychiatre de cette partie, cela fait pitié, elle fait un travail inhumain, être constamment avec des personnes déficientes. Cela pose des questions comme celle de ce travail : vouloir qu'il continue ou plus, n'est-ce pas une forme d'esclavagisme vis-à-vis du personnel soignant ?
La compassion cela s'apprend. Il y a trop de subventions pour la maison de retraite. Les enfants qui touchent 2000 euros salaire très supérieurs à la moyenne, ne payent presque rien pour la maison de retraite en complément. Donc sans complexe ils l'envoient là. Il faudrait penser à augmenter la  

participation des enfants, et cela les ferait réfléchir un peu plus. Je ne suis pas un richard qui aurait plus mais vivant avec moins que le SMIG, donc je ne vois pas en quoi cela les limiterait.

 

Lettre à Mr Emmanuel Hirsch directeur de l'espace de réflexion éthique d'Ile de France, sans réponse

objet : les ateliers du 14/05/,18 la dernière partie « Patient expert » questions des auditeurs invisible
 
A monsieur Emmanuel Hirsch, directeur de l'Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France
 
Monsieur le directeur,
 
Assister à cette journée avait été assez long, entendre tout cet assistanat.
J'avais participé dans la partie d'échange avec le public sur la question de patient expert en disant à peu près ceci :
c'était sur la question de patient expert qui était ensuite sorti de son problème de dégénérescence.
J'avais cité l'exemple d'une psychologue jeune retraitée de 60 ans qui avait eu un oubli de type Alzheimer très grave, elle s'était retrouvé dans un aéroport en ne sachant plus où elle devait aller elle avait demandé et avait demandé qu'on l'aide pour continuer son voyage.
Elle avait alors ensuite fait des exercices de mémoire pour rétablir sa mémoire et elle était sorti de ce problème de début d'Alzheimer après quelques mois d'entraînement.
(C'est connu d'un chercheur de l'INSERM que j'avais interrogé par exemple, spécialisé dans ce problème).
C'était pour stimuler ceux voulant ou pouvant se prendre en charge.
la patiente experte avait répondu qu'elle ne savait pas répondre à ce sujet
Et Le philosophe avait répondu qu'il ne pouvait qu'être élogieux à ce sujet. 
 
Cette question devrait-elle ne jamais apparaître en vidéo ou par écrit ?
Car sans, ce n'est pas la peine de participer.
Merci d'avance si vous pouviez la mentionner.
 
En vous remerciant par avance de votre attention, je vous prie d'agréer, monsieur le directeur, l'expression de mes sincères salutations.
 
Eric Oullereau
 
 
Je n'avais eu aussi aucune réponse.
 
D'où une raison pourquoi je ne participe plus à ces réunions.
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