Progression dans ma recherche ( langue naturelle internationale <-----  français, ma langue maternelle)

(de Eric Oullereau)

Progression in my research (natural language international <---french, my mother tongue)


 

 

vue naturelle

vue 1/2 sauvage

vue sauvage artisanale

vue sauvage industrielle

Je pense enfin avoir trouvé la langue idéale~ avec une bonne structure de construction des mots, ergonomique, en lien avec le plan du verger que je viens d'affiner.
Je trouve son alphabet et les 1ers mots de vocabulaire grâce à la dénomination des mammifères de base, du sens de la vue, ... et de fruits.
Et je pense avoir une vue globale structurée de tout le vocabulaire de base (plus de 5000 mots)

Avec l'étude de l'étymologie j'avais commencé de me poser des questions sur les langues anciennes
 => j'avais vu quelques semblaient plus intelligentes que maintenant
=> je pensais à une langue parfaite, et j'étudiais l'hypothèse de l'hébreu/araméen ancien, et le protosinaïtique avant comme langue idéale, idée vite abandonnée pour d'autres structures de construction des mots.
 Je n'étais pas freiné par un diplôme en langue qui est selon Paul Valéry, "l'ennemi mortel de la culture".

devenu professeur de cours particuliers,
j'avais pensé à la simplification phonétique
et m'étais mis à étudier l'étymologie des mots pour aider les enfants à mieux retenir les mots,
car là j'étais payé à l'efficacité,
 pas comme instituteur, où l'on est payé juste à présenter avec un peu de didactique et on ne pose pas trop de question

A l'école je trouvais les langues bizarres, un peu tordues,
 mais je me sentais impuissant par rapport à cela.
Je suis devenu instituteur, et je ne me suis guère posé de question, j'enseignais le français. on est appelé maitre. On a la police qui bloque les élèves qui ne veulent pas l'apprendre.
Donc cela n'incitait guère en tant qu'enseignant à se poser des questions.

 

pour plus d'information voir les langues, voir les pages

 

  

 

 

 

Pour plus d'information sur mon profil, vous pouvez voir la page 'Eric Oullereau' où je parle d'humain normal.

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