Introduction au sujet
La greffe d’organes, de tissus ou de cellules permet de soigner des maladies graves, d’éviter des traitements lourds, parfois de prendre en charge des handicaps ou enfin de sauver des vies. Les prélèvements sont effectués majoritairement sur des personnes décédées mais aussi sur des personnes vivantes. Selon la loi, ils supposent une atteinte à l’intégrité du corps humain, et ne sont donc autorisés qu’à deux conditions : ils doivent faire l’objet d’un don généreux et la finalité doit être thérapeutique ou scientifique. Plusieurs principes découlent de ces conditions : la gratuité, la non-opposition de son vivant pour la personne décédée, l’anonymat (sauf pour les dons pour un proche), l’interdiction de publicité, l’obligation de répartir équitablement les greffons et la sécurité sanitaire pour tous.
question :
"Comment soigner davantage de patients grâce au don d'organes ?"
Incroyable mais vrai, et la question comment soigner moins de personnes avec le don d'organes ?
comparer l'efficacité entre les 2 ?
cela s'apparente à la démarche totalitariste lobbiste n'aimant aucune discussion, ou simplement se comparer avec une solution pire,
et voulant faire son petit business.
Cette pratique s'apparente ni plus ni moins à une forme de cannibalisme, on ne mangerait la partie dont on aurait besoin, carrément on se la mettrait à l'intérieur de son corps.
Cela permet-il d'espérer le rajeunissement ?
Pas du tout, de toute évidence.
On est encore une fois dans le soin, de la réparation, pas dans la guérison de la personne.
Juste un prolongement artificiel de vie de la personne, en attendant la mort.
Enfin il faut invoquer le principe de précaution pour interdire cette pratique sur des personnes vivantes comme donneurs, c'est vraiment le minimum du minimum, et interdire cette pratique même pour un donneur volontaire.
On est en train de polluer énormément pour pouvoir faire cela.
C'est toute une usine à gaz pour faire cela. Donc la réduire au maximum.
sinon on essayerait de déshabiller Paul pour mal habiller Jacques et plus on abîmerait les vêtements de jean et André.
On ferait plus de dégâts que de bien, en polluant pour cela.
La 1ere proposition
Le nombre de donneurs d’organes est aujourd’hui insuffisant par rapport aux besoins
La greffe d’organes, de tissus ou de cellules permet de soigner des maladies graves, d’éviter des traitements lourds, parfois de prendre en charge des handicaps et de sauver des vies.
En 2016, 25 534 malades étaient en attente d’une transplantation d’organe. Parmi eux, 5 891 ont reçu un don d’organes, tandis que 552 personnes en attente d’un organe sont décédées.
La différence importante entre le nombre de donneurs d’organes et le nombre de patients en attente de greffe pose de véritables questions éthiques.
Tous ces lobbistes se croyant des grands coeurs qui sauveraient des vies me font penser à la phrase que j'avais lue dans le livre "Le principe de Peter" un livre sur l'organisation du travail, un best-seller, où il était dit de quelqu'un sur sa tombe il était gravé "il a sauvé des vies mais n'a pas pu sauver la sienne.
146 / 35 / 37 = 218 propositions
Don du sang citoyen
19 avril 2018 15:52
J'avais donné dans mes 2 arguments précédents des comparaisons pour ouvrir l'esprit et ne pas croire qu'à la "solution" du sang en cas de perte. Je rajoute aussi que je ne cautionne pas du tout le don du sang. Ce sont les transfusions du sang qui donnent le virus du "SIDA" et les drogues, pas les relations sexuelles, voir la page 402 du livre "L'invention du virus de SIDA" de Peter H. DUESBERG, professeur de biologie moléculaire et cellulaire de l'université de Californie à Berkeley, membre de la "National Academy of Sciences" des Etats-Unis, premier scientifique à avoir isolé un gène du cancer. La transfusion sanguine tue beaucoup et rend énormément malade. On a l'affaire du sang contaminé qui avait grand bruit en France, l'affaire lybienne avec les enfants contaminés ainsi, le pape qui était resté 2 mois à l'hôpital à cause d'infection attrapée par une transfusion de sang. Sans oublier que ce n'est pas du tout naturel, ou artisanal, ce n'est pas possible de prendre directement le sang de quelqu'un et de le transfuser à une autre personne. Il doit être contrôlé par une analyse spéciale pour voir la compatibilité avec le donneur. Et aussi l'état de santé des donneurs n'est pas regardé. Le sang est mélangé avec celui d'autres donneurs. Un seul malade contamine les autres. Il ne faut pas s'étonner que les malades avec maladies nosocomiales se comptent par millions en France. Nom donné aux maladies qu'on n'attrape qu'à l'hôpital.
15 avril 2018 13:03
Je rajoute une précision, comme mon idée est peu connue du public ou de beaucoup de personnes du service médical. Je ne parle pas de la mangue d'ici en France qui est 1/2 fibreuse, dans mon exemple, mais d'une mangue très fondante dans la bouche. Et aussi la quantité d'eau dans le fruit correspond à celle que devraient avoir les cellules du corps. C'est juste en lien avec le fait que nous serions frugivore selon des spécialistes de l'alimentation auprès de l'ONU. Pour l'efficacité, la rapidité d'assimilation des fruits adaptés à l'humain, on a aussi une autre preuve pour le voir : quand quelqu'un a les yeux rouges, de façon générale, s'il mange un ramboutan de bonne qualité, les yeux deviennent moins rouges en moins de 15 mn, prouvant que le ramboutan était passé dans le sang très rapidement. C'est juste à titre indicatif, pour l'ouverture de l'esprit. Evidemment on a la même remarque pour la qualité du ramboutan , ce n'est pas en France métropolitaine que l'on peut faire ce test ou pour tout ramboutan exporté, de façon sérieuse. On sait très rapidement s'il serait efficace ou pas en testant s'il est facilement pelable, très doux dans la bouche, et fondant. Les 5 sens humains seraient fiables en combinaison.
14 avril 2018 15:46
Le don du sang est tout un commerce, 100 euros une poche de 500 ml contre 3 euros pour une poche de solution saline ou de Ringer qui peut très bien marcher pour restaurer le volume dans le sang et là sang aucune contre-indication. Une aide soignante peut faire l'injection dans une veine. Il n'y a pas que cette solution encore commerciale. Imaginez que vous perdez 3 litres de sang, dans un accident en forêt ou sur la route. Vous êtes à l'article de la mort car les veines commencent à s'affaisser. Comment allez-vous faire ? Qu'espèrez-vous pour cela dans l'avenir ? Tout un système d'hélicoptères super rapides qui pourraient vous amener à l'hôpital en 5 mn sur simple appel de votre téléphone portable ou de d'une personne à vos côtés ? Cela semble tout à fait irréaliste. Il faut voir d'autres solutions : par exemple de boire de l'eau salée à 10 g de sel par litre. Quinton avait testé le remplacement presque total d'un chien par de l'eau de mer. Sinon plus naturellement, dans l'idéal, avec des bons fruits équatoriaux, bio, non sauvages à parfaite maturité la mangue par exemple, avec 75 % d'eau à faire manger de suite pour restaurer le volume sanguin. On voit par exemple que l'assimilation est très rapide car le sperme a en quelques minutes le gout sucré de mangue, donc que la mangue est passée dans le sang. Ainsi pas besoin de seringue ni d'être être soignant, seulement un bon verger équatorial sous la main, ce serait mieux qu'un hopital, l'environnement. Promouvoir le naturel, mieux que tout le reste, non au sauvage écologique (l'écologie profonde) ou, des solutions artisanales / industrielles (l'écologie superficielle). Pour les opérations chirurgicales, il y a la chirurgie sans transfusion de sang qui a beaucoup progressé. Quant aux transfusions sanguines, cela cause beaucoup de problèmes. Il y a nécessité de comparer les solutions entre elles, le principe de précaution.
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Eric Oullereau Contre
10 avril 2018 à 20:50
Lié à la proposition : En plus des organes, le don du sang
Le don du sang est tout un commerce.
Sans compter que cela pose souvent des problèmes.
Il y a des solutions sans don du sang très poussées. Il faut s'informer
Constats et enjeux
NYS • 10 avril 2018 11:20
52 votes • 7 arguments • 0 source
QUE LE DON D'ORGANES ET LES TRANSPLANTATIONS SOIENT LA REGLE
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Eric Oullereau Contre
15 avril 2018 à 20:26
Lié à la proposition : QUE LE DON D'ORGANES ET LES TRANSPLANTATIONS SOIENT LA REGLE
Suicidaire
Constats et enjeux
Gerard Bourgeois • 13 avril 2018 16:49
18 votes • 4 arguments • 0 source
Sensibiliser le public au manque de dons d’organes
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Dans l'idéal : le principe de précaution :
toute personne devrait avoir à se prendre en charge, et penser à son corps, et avoir son verger. Ainsi quand elle aurait un bon verger dans les conditions idéales elle n'aurait jamais de problèmes d'organes, d'où la question de don d'organe ne se poserait encore moins.
Une enquête devrait être faite sur les personnes ayant besoin d'un don d'organe, leur façon de voir, leur psychologie, veulent-elles vraiement vovre ou attendent-elle une 2ème vie ?
Si elles comptent sur une 2ème vie, il faudrait respecter cela.
On devrait passer d'un Etat de droit, avec un assistanat, faire croire que ce serait un droit d'avoir un organe de quelqu'un d'autre. Une forme d'esclavagisme, il lui faudrait toute une série d'esclaves pour satisfaire un caprice. Et aurait-il fait ce qu'il fallait avant ?
à un état de devoir, de responsabilité individuelle.
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