Le refus de l’eugénisme
La France comme la majorité des pays interdisent les pratiques eugéniques tendant à l'organisation de la sélection des personnes. Notre droit ne permet pas la recherche de l’« enfant parfait ».
que peut-on répondre à cela, entre d'ac . mitigé et pas d'accord ?
146 / 50 / 39 = 235 propositions
Pistes de discussion
Eric Oullereau • 19 avril 2018 19:21 - modifié le 19 avril 2018 19:27
2 votes • 0 argument • 0 source
Le recherche génomique a causé énormément de morts de chercheurs par la radioactivité par exemple. Y croire ne serait-ce pas cautionner cette forme de génocide de chercheurs ? Il faudrait expliquer la souffrance des chercheurs pour cela maintenant aussi
Pistes de discussion
Claire Collot • 11 avril 2018 23:23
38 votes • 4 arguments • 0 source
Reconnaître les Déficiences Intellectuelles comme la Trisomie 21 comme n'étant pas d'une particulière gravité et ne plus accepter les IMG pour cette raison.
21 avril 2018 23:16
La vie n'appartient qu'à Dieu, pas aux mathématiciens, ni aux médecins. Il y a toute une gradation chez les trisomiques 21, comme chez les non trisomiques 21, de leur capacités réelles. Laissons vivre les êtres humains qui développeront leur potentiel en fonction peut-être de leurs gênes (... il y en a des milliards ! et donc des combinaisons possibles en nombre gigantesque !! : comment peut-on avoir l'outrecuidance d'affirmer avec certitude que l'une est plus prédominante que l'autre ?) et surtout de l'amour reçu, et de celui que l'on leur laissera donner. La recherche, dans tous les domaines, doit être au service de la vie, pas de la mort. (Je suis donc très optimiste pour l'avenir, car toute recherche au service de la mort mourra d'elle même !!) Par ailleurs, le risque d'erreur existe : or, dans le doute, il faut s'abstenir (principe de précaution élémentaire) Enfin, tout ceci coûte très cher, et ne fait qu'accroître des déficits publics déjà abyssaux : dépensons l'argent, toujours rare qu'il soit public ou privé, pour la vie, pas pour la mort. Si ces DPNI ne servent qu'à donner la mort de façon aléatoire, n'en faisons pas !
14 avril 2018 12:00
Les mathématiciens nous ont fait progresser considérablement en révélant des inconnues, révélations indispensables et objectives. L'étude des virus inconnus les a mis en lumière pour faire progresser les soins. Les mécaniciens détectent d'abord une inconnue, la panne, pour la réparer... Et nous, nous proposons maintenant la mort, illustre inconnue, au nom du progrès ?
19 avril 2018 19:08
J'ai voté mitigé. J'ai connu un couple avec enfant trisomique, ils soupiraient ce n'était pas de gaité de cœur de l'avoir. Ils ne voulaient déjà pas d'enfant. Cela semble moins grave que certains cas d'autisme dûs par exemple à un vaccin comme j'ai pu en constater. L'enfant hyper nerveux par exemple. Mais c'est un fardeau quand même. Une question de réflexion. Les personnes qui disent qu'ils sont très heureux pensent-elles à ceci : Si le trisomique devait se débrouiller seul pour sa nourriture par exemple, car j'étudie que pour ne pas détruire toute la terre, il y aurait obligation que chacun se débrouille à produire sa propre nourriture, et ne pas dépendre d'un état cela en vue aussi du rajeunissement, de vaincre la mort, la vie éternelle. Sortir de l'Etat de droit, de rois, d'enfants rois, qui attendent que l'Etat leur fournisse de la nourriture au supermarché ou marché local bio, ce qui est une usine à gaz hautement destructrice. Cela progressivement. Vous parlez d'eugénisme. il me semble qu'il faille mettre cela en face de l'argument génocide planétaire vers lequel nous allons pour le moment. 50% de spermatozoïdes en moins pour l'homme en 50 ans par exemple. Nous nous détruisons. Nous sommes trop nombreux. Si par hasard la personne croit à une deuxième vie, ce qui est souvent le cas pour ceux qui voudraient sauvegarder leur procréation dans le ventre, où serait l'eugénisme ou la mort de l'humain s'il y aurait une 2ème vie? Il faut être cohérent avec soi-même. De mon côté j'ai fait une proposition pour ne pas faire la promotion d'avoir des enfants comme cela on résoudrait le problème à la base, et ainsi me situe en dehors de ces débats. Je ne crois pas en une vie de rechange, et pense que mon bébé serait mon conjoint. pas besoin d'un bébé pour moi. Si un conjoint veut un bébé, la question se pose : aime-t-il son conjoint suffisamment, est-il ou est-elle vraiment heureux avec elle ?
J'avais assisté à la journée
Captation de l’Atelier de la bioéthique : " Génomique : tout prédire de l’humain ? organisé le 27 avril 2018 à la Mairie du 4ème arrondissement de Paris dans le cadre des États généraux de la bioéthique.
Avec notamment la participation de :
Catherine Bourgain
Chercheuse en génétique humaine et sociologie des sciences, INSERM (Cermes3), membre du comité d'éthique de l’INSERM
Olivier Coutor
Chargé d’études, Direction des relations avec les publics et la recherche, Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL)
Marie Darrason
Chercheuse associée à l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences (IHPST) et Interne en médecine (pneumologie) à l’AP-HP
Valérie Pihet
Co-fondatrice de Dingdingdong (Institut de coproduction de savoir sur la maladie de Huntington)
Présentation
Emmanuel Hirsch, Directeur de l'Espace éthique Île-de-France.
J'avais, en tant qu'auditeur posé une question après les interventions des participants.
Nous étions 5 à avoir posé une question.
C'était filmé, et je pensais que le débat serait restitué intégralement, au moins un résumé sur l'essentiel.
Le directeur Emmanuel Hirsch me demande de me présenter. Les 2 1ers participants avaient parlé plus de 2 mn.
Je m'étais pésenté, en disant que je faisais une cherche omnisciente sur le corps humain, je remettais en cause la recherche spécialisée, expert en latin pouvait dire "qui n'a pas part".
J'étais l'auteur de la proposition les 5 sens semblent fiables en combinaison, le législatif naturel, la .
Je faisais une recherche sur la santé ainsi en lien avec les 5 sens, que cela soit agréable à la vue, à l'odorat, au gout,
et là Mr Hirsch m'a interrompu, restant sur sa chaise, en me disant d'aller au sujet de ma question.
J'étais en train de parler d'un protocole de recherche clinique en total respect avec les 5 sens, pour une éthique parfaite.
J'avais donc arrêté de disant pas mes 3 ou 4 autres petits éléments pour compléter.
Que c'était lié à l'effet sur la santé après par exemple.
Ensuite j'ai donné une explication pour frugivore différent de folivore, parlant du fruit ramassée 3 semaines avant qui n'ait pas tous les minéraux, que les vitamines ne se construisaient véritablement que dans les dernières heures,
j'avais précisé que la nourriture pouvait modifier l'ADN selon le botaniste Francis Hallé, qu'il fallait voir ce qu'on mettait comme carburant dans la voiture avant d'ouvrir le capot, c'est-à-dire faire de la recherche génétique.
il m'avait coupé se levant disant qu'on n'était pas là pour parler de frugivore, que je dise ma question.
comme j'avais déjà précisé ces 2 mots frugivore et folivore, je ne les avais pas répété, et dans la troncature de la vidéo on le voit pas.
Ainsi cela fait obscur vague, on ne comprend pas quel carburant dont je parle.
D'où mon email à ce monsieur le 31/05/18 :
Sans aucune réponse.
Qu'en pensez-vous ?
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