"Quelle folie que de porter un toast à
la presse indépendante !
Chacun ici présent ce soir, sait que
la presse indépendante n'existe pas, (...)
La fonction de journaliste est
de détourner la vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d'avilir, de ramper aux pieds de Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et sa race, pour son pain quotidien, ou ce qui
revient au même, son salaire. Nous sommes les outils et les vassaux d'hommes riches qui commandent derrière la scène.
Nous sommes des marionnettes :
ils tirent sur les ficelles, et nous dansons.
Nous sommes des prostitués
intellectuels."
examen critique de quelques propos :
- il a exagéré pour le propos "pour
son pain quotidien" .
Une psychologue déclarait dans le
documentaire "chroniques de la violence ordinaire" qu'il n'y a pas d'excuse pour voler.
Et donc on peut en déduire, pas
d'excuse d'être complice de voleurs, en mentant, en prostituant sa plume.
- Il dit aussi qu'ils sont les vassaux
d'hommes riches.
Si on reste dans une idée vague
générale, c'est normal car un journaliste est par définition ignorant, donc ne peut vivre de son savoir.
Alors, s'il veut rester dans son
ignorance, il ne lui reste plus que la prostitution intellectuelle.
Le mot prostitué a pour sens
étymologique en grec "vendre" à l'origine.
Et dans le nouveau testament, il
est dit que tous les Crétois (réputés des vendeurs) sont tous menteurs.
Donc il n'y a rien d'étonnant.
L'histoire ne fait que se répéter.
Si on regarde dans le détail, les
journalistes sont les vassaux de ceux qui paient les publicités,
mais ne sont pas les vassaux des
riches, ils pensent à les inciter d'aller au cimetière comme les autres.
Ils font la promotions de la publicité
du riche X pour rouler d'autres riches en premier car cela rapporte beaucoup plus.
Ensuite la publicité du riche Y pour
rouler d'autres riches en priorité.
Après ils font croire au fossé qui se
creuse entre riche et pauvre qui serait une calamité <=> les riches seraient de plus en plus heureux donc il faudrait qu'ils consomment de plus en plus les produits des publicités du riche
X ou du riche Y, pour être encore plus heureux, avec pour bonne conscience d'en partager un petit peu avec les pauvres. donc les riches sont en priorité les "dindons de la farce", les premières
cibles et les premières victimes.
Critiquer la richesse financière quand
on est riche financièrement c'est difficile, au moins pour être crédible.
C'est pourquoi je précise déjà que
personnellement, je suis sous le seuil de pauvreté en France.
Et ainsi, je travaille pour l'objectif
opposé de celui du F.M.I.et de l'O.N.U. : éradiquer la richesse de la zone équatoriale chaude et humide
ou au moins de mon futur verger et de
quelques centaines de mètres à côté.
Avoir rapidement besoin de moins de 1$
par jour en couple et bien vivre, au bout de quelques années, c'est-à-dire largement mieux que des fonctionnaire de l'O.N.U. ou du F.M.I. comme par exemple l'ex-directeur du F.M.I. qui était gros, en surpoids,
donc dans le sous-développement physique. Un démuni.
Ainsi leur nourriture doit être
mauvaise. Et elle ne peut que l'être par définition en ville et de surcroît loin de la zone chaude et humide.
Les journalistes, en général,
font l'opposé, louant ces fonctionnaires vernis, soit-disant.
L'artiste Arthur, d'environ 50 ans
disait qu'il avait tout ce qu'il fallait. Et il aimait beaucoup dépenser de l'argent. C'est un exemple de riche qui a été bien roulé par les publicités, pour l'empoisonner, l'encombrer, lentement
mais sûrement jusqu'à la mort.
Lui faire croire qu'il est vraiment
verni. Comme les autres.
Une preuve : arrive-t-il de faire 1 km
en course à pied en moins de 3mn, sans trop forcer (et sans se droguer) ? Ou bien est-il en train de s'enfariner comme les autres ?
Ce sont par exemple les riches les
plus grands consommateurs de drogue.
Sûrement pas ceux qui sont avec le
minimum R.S.A. socle par exemple en France (450 euros/mois en février 2015).
Et ils ne peuvent être non plus obèses
car il faut de l'argent pour cela selon un film documentaire tourné aux U.S.A.
Ainsi, si les journalistes sont
considérés comme bons derniers derrière les prostitués par certains, selon par exemple un article de V.S.D. qui date de quelques mois , il ne faudrait pas s'étonner.
Pour sortir de cette situation, le
meilleur conseil que je puisse donner, c'est de se mettre à s'informer pour la culture de bon verger.
Pas de risque de se faire tuer ou
autre.
Et là il n'y aurait pas de
vente.
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